Layla Costello [en construction]

{ - Who I am}

Nom & Prénom:

Costello Layla

Age

Physiquement elle ressemble plus à une gamine de 16 ans, elle a aussi 16 ans...

Sexe

État Civil:

Célibataire

Famille, amis, amours :

" Parce que je suis née tout en étant "seule", aujourd'hui encore je continue à l'être... Ce qu'on appelle généralement une famille moi je l'appelle la rue car c'est elle qui m'a tout appris, tout... " Comme vous l'aurez deviné, Layla est une fille assez solitaire dans l'âme. Une famille, elle n'en a jamais eu et des amis encore moins... Enfin si, elle s'est attachée à un homme par le passé, un lycan nommé Max. Puissant, mystérieux et lui aussi très distant, il a toujours été le seul que Layla portait dans son coeur. Un peu comme un tuteur, il a toujours pris soin de la demoiselle, il a toujours su la couver à sa manière, l'éduquer, la protéger... Car pour cette jeune asiatique, "nous vivons dans un monde où l'amour n'a pas sa place", elle n'a jamais connu de véritable amour et à vrai dire, elle n'en veut pas...

Let me tell my story

Histoire:

* "Je m'en souviens encore. C'était un petit matin d'avril - un lendemain de magnifique pleine-lune - que je la trouva, elle, cette fille que vous qualifiez d'étrange. Flottant dans cette herbe mouillée par la rosée, elle était encore endormie et mystérieusement déposée sur le coté, comme si son corps venait d'être jeté à l'abandon. " nous confia Mrs Brown, il y bientôt trois ou quatre mois lorsque nous sommes venu la chercher.

Dossier numéro 9476, classée dans les affaires dont les charges ont été "abandonnées", mademoiselle Costello est une petite orpheline qui s'est échappée il y a bientôt un an. Reconnue deux semaine après - comme vous pouvez le voir dans cette cassette - pour vol mineur, nous l'avons poursuivie en justice, mais en vain. Malgré nos efforts nous avons jamais réussis à la retrouver et nous avons donc arrêter de la chercher... Je crois que vous devriez en faire de même. Écoutez, ça fait 25 ans que je travaille dans la police et, ces enfants sans parents... Aussi mystérieux qu'ils soient, il en existe des tonnes.

Un pouvoir surnaturel vous dites ? Vous êtes drôle !

* Bien entendu que je me souviens de Layla. A l'époque, j'avais 16 ans. Lorsque soeur Brown est revenue de sa promenade matinale avec un gros drap dans les bras, j'ai tout de suite su qu'elle nous ramenait une nouvelle orpheline. C'était quand elle n'était pas encore trop fatiguée par le temps... Ce bébé avait dans le visage comme je-ne-sais-quoi qui faisait de lui un mystérieux enfant se distinguant parmi tant d'autres. Nous l'avons appelée Layla car ce prénom est aussi le nom d'une célèbre chanson d'Éric Clapton que sœur Brown adorait !

[...]

Dans cet orphelinat j'étais un peu comme l'ainée de la famille alors, il était normal que j'aide plus particulièrement sœur Brown. Dès toute petite, Layla ne parlait pas beaucoup mais c'était réellement fascinant de voir à quel point elle réussissait à nous comprendre, enfin du moins, c'est ce que je voyais à travers son visage... Tous les ans, le 13eme jour du mois d'avril, je l'emmenais dans ce champs de lys pour son anniversaire, celui où elle a été trouvé...

* Cette fille fait parti des plus mauvais élèves que j'ai jamais connu ! Je crois même qu'elle les détrône tous ! Non pas qu'elle était nulle en cours, mais plutôt qu'elle ne faisait strictement rien -à part regarder à travers la fenêtre peut-être... - Bref, je pense néanmoins qu'elle était - enfin qu'elle est - une fille très intelligente car malgré ces airs indifférents qu'elle se donnait, j'ai découvert un beau jour, un peu par mégarde, qu'en réalité elle retenait le moindre de mes mots. A moins qu'elle soit dotée d'une ouïe extrêmement développée -ce qui me ferait bien rire- ou bien d'une intelligence hors norme, je pense que ce tout n'était qu'une carapace qu'elle donnait.

Je ne sais pas trop pourquoi, mais à partir de ses 13 ans, elle n'est plus du tout venue en cours. Finalement, je crois que j'ai été particulièrement surpris de ne plus la voir assise sur cette table - c'était celle-là, tout au fond près de la dernière fenêtre- parce qu'en fin de compte, même si j'ai toujours su qu'elle s'en irait avant l'heure, sa présence -qui nous était d'ailleurs en aucun point dérangeante- nous était justement familière. Si je devais la décrire en un seul mot, je dirais charismatique. Elle n'était pas particulièrement belle, dotée d'un immense charme mais elle était tout simplement comme toutes les filles, sauf qu'elle avait je-ne-sais-quoi de différent et d'intrigant.

Le papier à la main, il venait d'arrêter sa lecture. De ses ténébreux yeux noirs, Maxime avait plongé son regard dans le plus profond des pupilles de la demoiselle. Jamais il ne l'avait regardé aussi intensément, jamais... Il y eu un lourd silence, celui qui s'introduit entre deux personnes lorsque leurs sentiments sont à leur apogée, celui qui laisse transparaitre tous les mots que l'on aurait aimé prononcer en un souffle, celui qui reste si intensément gravé dans nos mémoires...

La pluie était battante en ce mois de printemps. Layla était sauvagement accroupie dans un abris en carton positionné dans un recoin de la 40eme avenue, celle qui était toujours emplie de gens de la rue (pour ne pas dire autre chose) et avait les cheveux sales et humides tombant sur son front. Ses yeux avaient une lourde expression à la fois sévère et dubitative. Elle ne dit rien. Elle ne savait pas quoi dire. Elle n'avait rien à dire...

Le jeune homme baissa la tête en direction de son morceau de papier dont les écrits n'étaient désormais plus qu'un amas d'encre. Puis, de son habituel ton suave, il lui dit :

- Voici toutes les informations que j'ai pu récolter sur toi. Depuis bientôt un an, depuis le jour où je t'ai demandé de quitter l'orphelinat précisément, je parcours le pays pour relever toutes traces d'un quelconque passé te concernant...

L'humide feuille de tordit entre les grands doigts de l'homme puis, après avoir été machinalement déchiquetée, les derniers morceaux qu'il restait dans sa main s'envolèrent à travers le vent et la pluie.

- Je ne voulais pas que tu crois que je t'ai abandonnée. Mais te laisser seule dans la rue était la seule solution pour que tu apprennes à te débrouiller seule dans une quelconque galère, aussi dangereuse qu'elle puisse être... Il ne reste aujourd'hui plus aucune trace de toi et ton passé, à part dans ta mémoire, et dans la mienne. Pour cela j'ai du supprimer certains objets... tout comme certaines vies...

Il s'était arrêté, le regard perdu fixant la pluie tombante sur ses chaussures, comme s'il venait de revoir une scène d'anamnèse. Aussi surprenant que celui puisse paraitre, il arrive souvent que comme dans cette scène, nous soyons confronté à cette dure et triste réalité de la vie, qui nous a été toujours cachée, ou plutôt innocemment dissimulée. C'est dans ces moments là que tu sembles perdu dans les néants de ton esprit comme si tu venais de tomber dans le profond gouffre des abîmes de ton cœur, et c'est aussi dans ces moments là que tu te dois d'agir comme une grande personne... Mais c'est bien entendu bel et bien plus facile de le dire qu'à faire...

En voyant le regard fougueux et alarmé de la demoiselle, il reprit de suite, ayant tout de même conservé ce même ton caverneux :

- Madame Brown est morte de vieillesse si tu veux savoir. Jamais j'aurais pu m'en prendre à elle vu comment elle s'est occupée de toi. Non, je me suis juste chargé de rendre la mort de ces quelques policiers un simple accident. C'est injuste tu vas dire, mais tu dois savoir que leur mort fait ta survie, et il faut que tu survives...

En attendant, je ne peux pas t'offrir de promenade dans ce champs de lys puisqu'il n'existe plus - foutus hommes d'affaires va ! - mais je te donne plutôt ceci.

Après avoir fouillé dans l'une de ses poches intérieures de sa grande veste, il lui tendit alors une feuille de papier dans laquelle se trouvait une sorte de carton rectangulaire. Il lui fit un signe de la tête histoire qu'elle le prenne enfin et il continua :

- C'est un billet d'avion. Je sais que tu n'en as jamais pris mais tu verras, c'est pas si catastrophique que cela. J'ai inscrit sur le papier l'adresse où tu résideras. C'est en haut d'un sorte de machin-café, je sais plus trop comment mais bref, tu y résideras et la journée tu travailleras en tant qu'employée pour gagner ta vie....

C'est la première fois que je te parle autant et je crois t'en avoir trop dit. Tu peux maintenant prendre un nouveau départ, une nouvelle vie ... Et crois moi, on ne te pourchassera plus, que ce soit ces "gens", ou bien tes "semblables", c'est moi qui te le garanti.

Layla toujours aussi silencieuse, le regarda avec ces grands yeux exprimant à la fois la peur, le doute, mais surtout l'incompréhension. Son coeur criait d'envie de lui poser des tonnes de questions, de lui demander pourquoi, de le serrer dans ses bras, de lui dire à quel point elle s'était sentie seule et à quel point il lui avait manqué... Mais rien, elle ne dit rien et se contenta de l'observer, lui, et son sourire bienveillant. Finalement, il se mit à se secouer le dos, comme pour se débarrasser de toute la pluie qui s'était accumulée depuis son arrivée et, comme s'il s'en allait il lui tourna le dos et lui dit une dernière fois.

- Sur ces mots je te laisse Layla... Bonne chance et bon courage...

Au revoir...

Était-ce un adieu ou bien un simple au revoir ? Tout était si ambiguë. Mais quoi qu'elle fasse, la petite asiatique savait qu'elle n'avait aucune chance d'obtenir de quelconques informations en plus, elle le savait ... Elle était dans un tel désarroi qu'elle ne savait vraiment si elle ressentait de l'appréhension ou bien du soulagement. Elle était là, et lui il s'en allait. Avant que sa masse ne devienne plus qu'un petit point dans cet horizon, il se retourna et souffla quelques mots qui sonnèrent comme un :

- Joyeux anniversaire Layla...

In a bloody color ...

Racontes
moi tes bêtises :

Layla a une peur immense de voir du sang. Non pas qu'elle soit une grosse peureuse et phobique de la vie, mais cette simple odeur peut provoquer en elle comme d'immenses frissons à travers tout le corps. Layla vit avec cette étrange sensation de vouloir manger de la chair en permanence et chaque jour est un combat contre cette faim. Du coup, elle se nourrit principalement de poisson : que ce soit en poisson panné, cuit à l'eau, au four, fumé ou encore en sushi (putin j'ai faim) Mais elle est aussi une mordante de fraises ! Hormis cela, elle n'a pas vraiment de grande passion... Peut-être la guitare qu'elle a appris à jouer dès toute petite, grâce à un vieux et magnifique joujou trouvé dans le grenier de l'orphelinat. Dans ses moments de solitude (c'est à dire presque tout le temps x'D non, n'exagérons pas) et quand elle a un peu de temps libre, elle en joue...

When I told you

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Comment l'avez-vous connu?

Un petit mot sur vous?

Bienvenue! =D

Bonne Chance pour ta fiche!

Merci ^^

J'ai fait l'histoire peut-être un peu trop longue mais comme ça,
j'ai fait mon test rp en même temps !

C'est jamais trop long! =D

Mais j'ai jamais parler de Test de Rp, enfin je crois!

Par contre tu es humaine c'est ça?

Ah euh non excuse-moi, tu n'as pas parlé de test RP mais comme j'ai l'habitude d'en voir aux inscriptions x'DDD

Par contre, je suis une lycane justement sauf qu'elle vit avec des moldus...
Dans mon histoire, je raconte comment elle a du s'échapper et fuir pour ne pas que l'on reconnaissent son identité. Quand je parle des "semblables" je parle justement des lycans, mais bref, désolé si je n'ai pas été assez précise. Neutral

Pas grave c'est moi qui aurait dut demander à préciser! =S

Ce ne sont pas des moldus mais de simples humains sans défenses -enfin....- ^^

Sinon à part ça la fiche est finie?

Pense à mettre un avatar! =D

Voui, ^^
la fiche est finie =D

Invité

OKay la miss! =D

Par contre qui prends-tu comme avatar !?

-Chuis le DC d'Abbadon-

Hum en fait c'est moi sur le vava ^^

HUm, j'en était persuader ^^ !!

Bienvenue parmis nous ma petite Marie Adoré !! ^^

Kiahhh, remerci I love you

='D